Histoire au sujet des enfants

Photo : Voici une merveilleuse histoire au sujet des enfants des musulmans qui sont morts dans leur tendre enfance. 

Sheikh Maalik ibn Dinar (ra) était un des grands saints de son époque. Dans sa jeunesse il n'était pas un homme pieux, bien au contraire. Lorsque ensuite on lui demandait de raconter comment il avait changé, il narrait cette histoire : 

" J'étais un policier dans ma jeunesse, et j'aimais beaucoup boire du vin comme un "trou". Je buvais jours et nuits, et je menais une vie dissolue. J'ai acheté une belle esclave et avec elle j'ai eu un enfant. Lorsqu'elle commença à marcher et à parler, je l'aimais encore plus. Elle avait cependant une étrange habitude: quand elle me voyait boire du vin, elle arrachait mon verre de mes mains et le jetais sur mes habits. Mais je l'aimais tellement que je ne la grondait pas. Malheureusement, lorsqu'elle eut deux ans, elle mourut et je fus abattu de tristesse et de douleur. Un soir, le 15éme shaabane, j'étais ivre, et j'allais dormir sans lire la salat de Icha. J'ai fait un horrible cauchemar dans lequel c'était le jour du jugement ; les morts sortaient de leur tombe, et j'étais avec ceux qu'on emmenait vers la plaine des Hachare. J'entendis le bruit de quelque chose qui me suivait; en regardant derrière moi je vis un horrible et monstrueux serpent qui courrait derrière moi cherchant à m'attraper. Le serpent avait des yeux bleus perçants, sa gueule était grande ouverte et il vociférait après moi, très furieux. Je courrais très vite, tant j'avais peur et le serpent se rapprochait de plus en plus de moi, je désespérais de ma vie. Je vis un vieil homme, élégamment vêtu et dont l'entourage était parfumé. Je le saluai et il répondit à mon salam. Je lui dis :" Pour l'amour d'Allah ! Aide moi dans cette difficulté !!" Il dit : " Je suis trop faible face à un ennemi si puissant !  Cela est au dessus de mes capacités. Mais continue de courir, tu trouveras peut être une aide plus au devant." Courrant follement je découvris une falaise devant moi et je l'escaladais; arrivé en haut, je vis le feu flamboyant de l'enfer, avec ses horribles scènes de châtiments. Mais j'étais tellement terrifié par le serpent que je continuais à courir tant que j'eus peur de tomber dans ce précipice. J'entendis alors une voix qui criait : "Retourne en arrière tu n'es pas de gens de l'enfer!". Je retournais et courus dans la direction opposé. Le serpent pris la même direction et continua de courir derrière moi. ... 

Je revis à nouveau le vieil homme vêtu de blanc et je lui dis: "O vieil homme ne peux tu pas me sauver de ce python ? Je te l'ai déjà demandé mais tu as refusé !" 

Le vieil homme pleura et dit :" Je suis trop faible pour t'aider contre un si puissant serpent. Mais je peux te dire qu'il y a une colline prés d'ici ou se trouve les dépôts gardés des musulmans; Si tu y vas tu trouveras peut être quelque chose qui t'appartient qui te sauvera de ce serpent." 
 
Je courus vers la colline qui était escarpée, elle avait beaucoup de rideaux de fenêtres ouvertes. 
Les fenêtres avaient des volets en or encastrés de rubis et de précieux diamants. 
Chaque rideau était fait de soie rare et pure. 
Alors que l'allais escalader la colline, des Anges crièrent : " Ouvrez les fenêtres et tirez les rideaux! Quittez vos chambres ! Voici un malheureux homme; peut être avez vous avec vous un dépôt qui lui appartient qui pourrait l'aider dans son infortune." 

Plein d'enfants aux visages aussi brillants que la 14éme lune regardèrent par les fenêtres. 
J'étais vraiment désespéré car le serpent était vraiment très proche de moi maintenant.. 

Les enfants s'appelèrent tous: "Venez vite! car le serpent est très proche de lui ! 
Alors plein d'enfants sortirent en grande armée et au milieu d'eux je reconnu ma propre petite fille qui était morte il y a quelque temps de cela. Elle aussi me reconnut et commença à pleurer en s'exclamant: " 

Par Allah ! C'est mon propre père !" Elle sauta sur un berceau tanguant, qui semblait être fait de lumière Divine et s'élança vers moi. 

En un instant elle était debout prés de moi et je la pris dans mes bras. Elle leva sa main gauche vers moi, et de la main droite renvoya le serpent. Le serpent s'enfuit au loin. 

Puis elle me donna un siége et s'assit sur ma cuisse. Elle commença à caresser ma barbe avec sa main droite en me disant: "Mon cher papa," Le temps n'est il pas venu pour les croyants (qui s'adonnent aux péchés) de soumettre leur coeur en toute humilité pour se rappeler d'Allah et pour la vérité qui est révélé ?" (sourate Le Fer, verset 16)". 

J'étais encore secoué de larmes et lui demandai : "Ma fille connaissez vous tous le Qour'aan ?" Elle répondit: "Nous comprenons le Qour'aan mieux que vous" 

Je lui demandais :" Mon cher enfant qui était ce serpent ?" Elle dit: " C'était tes mauvaises actions qui l'ont rendu si mauvais qu'il allait te jeter en enfer." Je demandais: " Et qui était ce vieil homme vêtu de blanc ?" 

Elle dit: "C'était tes bonnes actions mais tu en as fait si peu qu'il était trop faible pour t'aider contre ce serpent. Ainsi il n'a pu que t'indiquer des moyens de te sauver toi même." 

Je demandai : " Que faites vous donc tous sur cette colline ?" Elle répondit : "Nous sommes les enfants des musulmans qui avons décédé dans l'enfance. Nous vivrons là jusqu'au jour du jugement attendant d'être réunis avec vous quand vous viendrez à nous à la fin et nous intercéderons pour vous auprès de notre Seigneur." 

Puis, je me réveillé de mon rêve, avec la peur du serpent toujours pesante sur mon coeur. Je me tournais alors vers Allah en repentir et j'abandonnai mes mauvaises habitudes.

 

 

Voici une merveilleuse histoire au sujet des enfants des musulmans qui sont morts dans leur tendre enfance.

 

Sheikh Maalik ibn Dinar (ra) était un des grands saints de son époque. Dans sa jeunesse il n'était pas un homme pieux, bien au contraire. Lorsque ensuite on lui demandait de raconter comment il avait changé, il narrait cette histoire :

 

" J'étais un policier dans ma jeunesse, et j'aimais beaucoup boire du vin comme un "trou". Je buvais jours et nuits, et je menais une vie dissolue. J'ai acheté une belle esclave et avec elle j'ai eu un enfant. Lorsqu'elle commença à marcher et à parler, je l'aimais encore plus. Elle avait cependant une étrange habitude: quand elle me voyait boire du vin, elle arrachait mon verre de mes mains et le jetais sur mes habits. Mais je l'aimais tellement que je ne la grondait pas. Malheureusement, lorsqu'elle eut deux ans, elle mourut et je fus abattu de tristesse et de douleur. Un soir, le 15éme shaabane, j'étais ivre, et j'allais dormir sans lire la salat de Icha. J'ai fait un horrible cauchemar dans lequel c'était le jour du jugement ; les morts sortaient de leur tombe, et j'étais avec ceux qu'on emmenait vers la plaine des Hachare. J'entendis le bruit de quelque chose qui me suivait; en regardant derrière moi je vis un horrible et monstrueux serpent qui courrait derrière moi cherchant à m'attraper. Le serpent avait des yeux bleus perçants, sa gueule était grande ouverte et il vociférait après moi, très furieux. Je courrais très vite, tant j'avais peur et le serpent se rapprochait de plus en plus de moi, je désespérais de ma vie. Je vis un vieil homme, élégamment vêtu et dont l'entourage était parfumé. Je le saluai et il répondit à mon salam. Je lui dis :" Pour l'amour d'Allah ! Aide moi dans cette difficulté !!" Il dit : " Je suis trop faible face à un ennemi si puissant !  Cela est au dessus de mes capacités. Mais continue de courir, tu trouveras peut être une aide plus au devant." Courrant follement je découvris une falaise devant moi et je l'escaladais; arrivé en haut, je vis le feu flamboyant de l'enfer, avec ses horribles scènes de châtiments. Mais j'étais tellement terrifié par le serpent que je continuais à courir tant que j'eus peur de tomber dans ce précipice. J'entendis alors une voix qui criait : "Retourne en arrière tu n'es pas de gens de l'enfer!". Je retournais et courus dans la direction opposé. Le serpent pris la même direction et continua de courir derrière moi. ...

 

Je revis à nouveau le vieil homme vêtu de blanc et je lui dis: "O vieil homme ne peux tu pas me sauver de ce python ? Je te l'ai déjà demandé mais tu as refusé !"

 

Le vieil homme pleura et dit :" Je suis trop faible pour t'aider contre un si puissant serpent. Mais je peux te dire qu'il y a une colline prés d'ici ou se trouve les dépôts gardés des musulmans; Si tu y vas tu trouveras peut être quelque chose qui t'appartient qui te sauvera de ce serpent."

 

Je courus vers la colline qui était escarpée, elle avait beaucoup de rideaux de fenêtres ouvertes.

Les fenêtres avaient des volets en or encastrés de rubis et de précieux diamants.

Chaque rideau était fait de soie rare et pure.

Alors que l'allais escalader la colline, des Anges crièrent : " Ouvrez les fenêtres et tirez les rideaux! Quittez vos chambres ! Voici un malheureux homme; peut être avez vous avec vous un dépôt qui lui appartient qui pourrait l'aider dans son infortune."

 

Plein d'enfants aux visages aussi brillants que la 14éme lune regardèrent par les fenêtres.

J'étais vraiment désespéré car le serpent était vraiment très proche de moi maintenant..

 

Les enfants s'appelèrent tous: "Venez vite! car le serpent est très proche de lui !

Alors plein d'enfants sortirent en grande armée et au milieu d'eux je reconnu ma propre petite fille qui était morte il y a quelque temps de cela. Elle aussi me reconnut et commença à pleurer en s'exclamant: "

 

Par Allah ! C'est mon propre père !" Elle sauta sur un berceau tanguant, qui semblait être fait de lumière Divine et s'élança vers moi.

 

En un instant elle était debout prés de moi et je la pris dans mes bras. Elle leva sa main gauche vers moi, et de la main droite renvoya le serpent. Le serpent s'enfuit au loin.

 

Puis elle me donna un siége et s'assit sur ma cuisse. Elle commença à caresser ma barbe avec sa main droite en me disant: "Mon cher papa," Le temps n'est il pas venu pour les croyants (qui s'adonnent aux péchés) de soumettre leur coeur en toute humilité pour se rappeler d'Allah et pour la vérité qui est révélé ?" (sourate Le Fer, verset 16)".

 

J'étais encore secoué de larmes et lui demandai : "Ma fille connaissez vous tous le Qour'aan ?" Elle répondit: "Nous comprenons le Qour'aan mieux que vous"

 

Je lui demandais :" Mon cher enfant qui était ce serpent ?" Elle dit: " C'était tes mauvaises actions qui l'ont rendu si mauvais qu'il allait te jeter en enfer." Je demandais: " Et qui était ce vieil homme vêtu de blanc ?"

 

Elle dit: "C'était tes bonnes actions mais tu en as fait si peu qu'il était trop faible pour t'aider contre ce serpent. Ainsi il n'a pu que t'indiquer des moyens de te sauver toi même."

 

Je demandai : " Que faites vous donc tous sur cette colline ?" Elle répondit : "Nous sommes les enfants des musulmans qui avons décédé dans l'enfance. Nous vivrons là jusqu'au jour du jugement attendant d'être réunis avec vous quand vous viendrez à nous à la fin et nous intercéderons pour vous auprès de notre Seigneur."

 

Puis, je me réveillé de mon rêve, avec la peur du serpent toujours pesante sur mon coeur. Je me tournais alors vers Allah en repentir et j'abandonnai mes mauvaises habitudes.